Perspectives d’emploi Ingénieur/ingénieure en traitement des eaux résiduaires au Nouveau-Brunswick

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Cette profession comprend des appellations d’emploi dont les tâches et responsabilités principales ont un impact positif sur l’environnement. Le Guichet-Emplois utilise une liste de professions qui ont été identifiées comme " vertes " grâce à une analyse basée sur les tâches menée par le Occupational Information Network (O*NET) des États-Unis (disponible en anglais seulement), qui a été reconnue par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et adaptée à la Classification nationale des professions (CNP) au Canada. Cette liste est appelée à évoluer au fil du temps. Pour en savoir plus.

Explorez les perspectives d’emploi actuelles et futures des personnes qui travaillent comme d’ingénieur/ingénieure en traitement des eaux résiduaires au Nouveau-Brunswick ou dans l’ensemble du Canada.

Débouchés au Nouveau-Brunswick

Ces perspectives d’emploi ont été mises à jour le 29 novembre 2023.

Perspectives au cours des 3 prochaines années

Les perspectives d'emploi seront modérées pour les ingénieurs civils/ingénieures civiles (CNP 21300) au Nouveau-Brunswick pour la période 2023 à 2025.

Les facteurs suivants ont contribué à cette conclusion :

• la décroissance d'emploi prévue devrait entraîner l'abolition de certains postes
• un certain nombre de postes deviendront disponibles en raison de départs à la retraite
• quelques travailleurs expérimentés sont à la recherche d'un emploi dans cette profession

• La plupart des ingénieurs civils sont employés dans des cabinets d’architectes et d’ingénieurs et fournissent des services d’ingénierie, de conception et d’ingénieurs-conseils qui se rapportent souvent à des activités de construction. Un certain nombre de ces travailleurs sont également employés par les gouvernements locaux et provinciaux, car ces paliers de gouvernement sont généralement responsables de l’entretien des infrastructures publiques.
• Les changements climatiques et les avancées technologiques sont des tendances majeures de cette profession. L’accent mis sur le renouvellement des infrastructures et sur l’ingénierie écologique a également influé sur le type de travail exigé de cette profession.
• Les candidats doivent être des ingénieurs agréés par l’Association des ingénieurs et des géoscientifiques du Nouveau-Brunswick pour pouvoir exercer la profession d’ingénieur civil. Toutefois, les employeurs recrutent souvent des diplômés universitaires en génie civil, en génie de la construction ou en génie des transports, qui travaillent en vue d’obtenir une accréditation. Les compétences numériques sont un atout et la plupart des employeurs attendent des candidats qu’ils soient à l’aise avec un logiciel de dessin assisté par ordinateur.
• D’autres diplômes peuvent être exigés selon le domaine d’activité. Par exemple, la certification Leadership in Energy and Environmental Design (LEED) est délivrée par le Conseil du bâtiment durable du Canada et peut être exigée par les entreprises spécialisées dans la construction écologique. Les ingénieurs civils peuvent être amenés à travailler à l’extérieur, à l’occasion.

Voici quelques faits saillants au sujet des ingénieurs civils/ingénieures civiles au Nouveau-Brunswick :

• environ 700 personnes occupent un poste dans cette profession
• les ingénieurs civils/ingénieures civiles travaillent principalement dans les industries suivantes :
  • architecture, génie et services connexes (SCIAN 5413) : 50 %
  • construction (SCIAN 23) : 17 %
  • administrations publiques provinciales et territoriales (SCIAN 912) : 12 %
  • administration publique fédérale (SCIAN 911) : 5 %
• leur répartition entre le travail à temps plein et à temps partiel est :
  • travail à temps plein : 93 % par rapport à 84 % dans toutes les professions
  • travail à temps partiel : 7 % par rapport à 16 % dans toutes les professions
• 85 % des ingénieurs civils/ingénieures civiles travaillent toute l'année tandis que 15 % travaillent seulement une partie de l'année, par rapport à 62 % et 38 % respectivement dans toutes les professions. Ceux qui travaillent seulement une partie de l'année le font en moyenne pendant 48 semaines par rapport à 42 semaines dans toutes les professions
• 11 % des ingénieurs civils/ingénieures civiles sont des travailleurs autonomes, par rapport à 10 % dans toutes les professions
• leur répartition selon le sexe est :
  • hommes : 82 % par rapport à 52 % dans toutes les professions
  • femmes : 18 % par rapport à 48 % dans toutes les professions
• le niveau d'éducation atteint par les travailleurs de cette profession est :
  • pas de diplôme d'études secondaires : moins de 5 % par rapport à 11 % dans toutes les professions
  • diplôme d'études secondaires ou l'équivalent : moins de 5 % par rapport à 30 % dans toutes les professions
  • certificat ou diplôme d'apprenti ou d'école de métier : moins de 5 % par rapport à 12 % dans toutes les professions
  • attestation ou diplôme d'études collégiales ou certificat universitaire de premier cycle : 9 % par rapport à 23 % dans toutes les professions
  • baccalauréat : 66 % par rapport à 16 % dans toutes les professions
  • certificat ou diplôme universitaire supérieur au baccalauréat : 21 % par rapport à 7 % dans toutes les professions

Ventilation par région

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Source Information sur le marché du travail | Méthodologie des perspectives d’emploi

Conditions du marché du travail au cours des 10 prochaines années

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